Paternostra

On fume des marques françaises, on s'habitue vite au confort, on broye de la taule tôle (on est là pour se bonifier, aussi !) sans compter, on bakchich à la volée, on arrectis aurribus. Il ne faut pas rêver, l'hiver à New York, c'est comme partout ailleurs. Y a du bon... et du moins bon. Dans la philosophie Paternostrasienne, on pourrait dire, pour schématiser, que ce sont les moyens qui permettent de réduire la faim. Ca a du sens. Radicalité. Culture massive de testostérone sous abri, avec prises de décisions pas toujours opportunes, voire suicidaires. C'est un fait, Jack est un biznesseman plein d'entrain, catégorie je démarre et je verrai bien. Cependant, la navigation à vue ça a des inconvénients surtout quand la marmite est remplie d'embrouilles. Heureusement qu'il a des amis : Easy, Mike, Blue non, Joey non, un chauffeur de taxi... D'accord c'est pas la mega teuf, mais ce n'est pas si mal quand même pour un type qui nage dans le déni le plus parfait et qui ne demande pas à être connu. 
Sinon, pour agrémenter, je dirai que ça ressemble à un remake de remake du remake de l'effet pap'. Rendez-vous compte, il suffit d'un malheureux petit braquage - bon d'accord il y a eu des dégâts collatéraux non négligeables - et c'est toute une profession qui est pointée du doigt. Flambée des prix, négociations foireuses, enlèvement de véhicules pour un oui pour un non, violence gratuite, racisme et j'en passe ! 

Très binaire. Un peu comme les douze jours de Noël... A rallonge !
Pas bien compris le métier de Joey. Je viens de réaliser que le cellulaire n'est pas présent dans ce dossier, ce qui me permet à la louche de situer dans le temps.
Pour les nouveaux arrivants, et une volonté de bien faire.