Ô combien de marins..., G.J. Arnaud

-    Mesdames et Messieurs, aujourd’hui, l’exposé du jour portera sur le nul à criée (pardonnez ce mélangement à seule fin d’embrouiller les moteurs de recherche). J’évoquerai tour à tour sa genèse, son miracle, ses utilisations et ses détournements, ses bienfaits (?) et méfaits. Je parlerai également d’information, de manipulation, de peur …
-  Ferme ta g….. Blud ! Y a des gens pour ça. C’est leur boulot, pas le tien. Instruction et tout et tout… Ils savent précisément ce qu’ils font, où ils vont et comment ils y vont. Tu penses bien. On appuie pas sur un bouton comme ça mon vieux. C’est à regretter d’avoir fournit les la lumière, à des types comme toi.

Dossier : Ô combien de marins...
Auteur :  G.J. Arnaud (revue 813 - n° 61 déc. 1997)
Bannière :  Fleuve Noir
Section : Espionnage
Corps : La vieille garde
Campagne :  1973
Date Edition : 1er trim. 1973
SSBN ISBN : nd
Nbre de pages : 234
Prise de possession :  Les quais
Lieu :  environs du Pont Neuf
Retour : néant
Appel à contribution   :  nd
Contribution réelle      :  1,00 €
Début lecture : 01/08/2013
Fin lecture :   07/08/2013
Date d'achat : nd
Motivation d'achat : le titre... et l'actu.

Compte-rendu de campagne :
Et voilà ! Un de plus qui vient de se rendre compte qu’il a été manipulé par ... Pauvre Walton !  Pourtant on fait notre possible nous zot’. Mais le problème avec cette chienlit (sans la moutarde), c’est qu’on a beau être averti en amont, on ne sait jamais de quel côté elle va s’infiltrer. Heureusement il y a des gens comme le Commander ou Mémé Mamma Pepini. Conscients, certes, des problèmes engendrés par le progrès au quotidien. Mais la ligne, c’est la ligne. Vu ?

Il y a comme qui dirait de l’infiltration dans l’air. Les particules virevoltent. Les mouvements contestataires s’organisent. La planète souffre ? Qu’à cela ne tienne ! Les naissances sont contrôlées. Les morts sont silencieux bavards. Les anciens font dans l’exemple. Et les jeunes me direz-vous ? Eh bien les jeunes, comme à leur habitude, s’amusent, mon cher. Feux de camp en pagaille, élevage de brebis, pasta party, rodéos à moto, danse magique avec les moustiques, etc. Pensez donc, ils en viennent à râper leurs fonds de culottes sur l’asphalte chaud et gras des routes mythiques du Grand Ouest et dans les prés salés de la Floride.
(Attention séquence technique) On suit la progression d’une start up prometteuse qui fournit à la Vyna (même principe que précédemment) des micromodules ( ?) et des circuits imprimés. On nage en plein espionnage industriel. Il y en a même un qui a foulu le feu à son pavillon (p.195). C’est dire la confusion…
Le parcours est cahotique : Atlantic city, Daytona, Jacksonville. On menace de faire intervenir Pennsyvania Avenue (?)
Chez ces gens-là, Môssieur, on ne boit pas. On supporte juste le cigarillo
Faits remarquables : augmentation des déclarations d’handicaps professionnels (mal de dos, dépression, naissance compliquée…)
On connaissait le B.F.I. (ou F.B.I. si vous préférez), la C.I.A. On a maintenant l’O.N.I. Et ne me demandez pas !
Outils à disposition : vaporisateur au vitriol, fume cigarette lance poivre (véridique)
Personnage remarquable : une nymphomane infirmière ou infirmière nymphomane, qui profite du sommeil d’autrui pour se servir. On ne saura jamais si elle utilise une drogue particulière.



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