La traque de la musaraigne, Florent Couao-Zotti


Une progression toute en "verticalité intérieure". 

Sur un rythme de conte africain, le Néguirec (Breton de son état) est pris dans la nasse d'une joyeuse Ghanéenne qui répond (pour l'occasion) au nom de Déborah Palmer. Ladite Déborah, dont on ne saura jamais, soit dit en passant, si c'est une vraie "sèche" ou non (?). Ce que l'on sait par contre, de source sûre, c'est que ses seins sont pleins, zé, fait rare, identiques (?). Allez je reprends :

 Notre breton, pris dans la nasse, se fait trimbaler comme un bl... dans une foire aux fesses qui n'en a que le nom. Un peu troubadour, superstitieux à souhait, trop tendre pour ce monde chaleureux, romantique, plein d'espérance sous les aisselles, son cauchemar africain prend forme tranquillement : tabassage, arnaque, braquage, fille de l'air, ballades en mob dans les rues de Porto novo, pompes poupées à fric, hébergement à risques, enlèvement, prise d'otages, souffrances... On parle d'Afrique Joyeuse quand même ! 

La théorie du "pas en avant" est développé.  
On tire la cargaison complète. Pas de négo possible.
On fait clairon avec des bières "béninoises" principalement. 
Le Rhum-coca est évoqué tel quel.
On apprend que l'érotisme pourrait être le bras armé de la violence.
On porte des toques aboméennes.
On danse le soyoyo
On sert à table poulet rôti, poisson braisé, gibier fumé, riz, couscous, frites et alokos.
Boissons non alcoolisées : boissons gazeuse et décoctions de plante

Pas de relecture planifiée dans le futur. Cote à vérifier.