Il est très difficile d'attraper un chat dans une pièce sombre, surtout s'il n'y est pas, Bruno M.



Une enquête à la "Papa".

Un ex-flic se transforme brutalement en détective privé à la suite de plusieurs concours de circonstances et soutenu par plusieurs béquilles. Dont une intermédiaire qu'il a fallu circonscrire définitivement pour des raisons sanitaires.

Finalement, c'est Simon, l'ami fidèle, et Wolfgang, le joueur de pipeau, qui se sont chargés de la besogne reconversion.

(off)
Affinage du profilage dans les caves du bout du monde : nous, dans le comité, on est plus pour les italiens et Offenbach. On a bien essayé Massenet et son Mage, mais on a échoué. Trop pointu pour nous zôt'. C'est ainsi. Il faut l'accepter humblement. Et petite précision, nous dans le comité (re-dite utile), même quand on aime on ne met pas en boucle... Mais on comprend l'insistance.

(on)
Une disparition (encore) inquiétante. Celle de la fille d'un père qui n'ose envisager l'horreur. Et on le comprend bon sang !         

Pas de quoi fouetter un chat ? Les antispécistes apprécieront. En tout cas, pas vu la queue d'un ! Sur ce point, on est mieux servi chez Resnick...


Bon, je m'égare...

Les thèmes : manipulations, emprise sectaire, alcoolisation à outrance, pouvoir Pouvoir en berne. Une enquête à l'ancienne (?) - ça veut rien dire Blvd. - Je confirme - .
La viticulture comme liant, les cloportes en pleine métamorphose et les récitatifs occultés (dommage!).

Un peu tordu. Mais pour un Goiste, rien de plus banal. Tant que la partie n'est pas finie tu ne sais pas si tu as gagné la partie. Mon oeil, tiens !

Sinon, on boit des décoctions en tout genre en version boule de feu et on écoute Gone Dead Train comme
on peut vu qu'en ce moment c'est la 2G qui fait le forcing dans l'atelier de lecture. Pas grave.

Par contre impossible de remettre la main sur le nom du détective et le dossier est retourné là où il a été exhumé par mégarde.

Bye