Un coup pourri, Alain Demouzon


- Toc, toc !
- Qui c'est ?
- C'est la voisine d'en face ! 

Un dossier en deux temps. 

Non ce n'est (toujours) pas une bourrée poitevine. Une ardéchoise peut-être ?


1ère période

Lors d'une séquence de réchauffement climatique à Paris intra-muros, Gisèle, mère délaissée depuis un an par un mari indélicat, toque à la porte de Nicolas, un détective discret (la base), solitaire (confirmation de la base), un peu bougon (si on veut), volontaire (mais prudent), buveur de bière (un classique en métropole), et qui ne compte pas ses heures... et ses cicatrices. 
Après moult et moult assauts, le Nicolas cède aux demandes pressantes de la dame. Il va finalement enquêter (gratis ?) sur la disparition de Georges. Mais pas de méprise. Tout est fait dans les règles. Un pas en avant, un pas en arrière, un sur le côté, etc. 
Direction Lyon en train de nuit. Une autre époque.
L'enquête s'avère être plus compliquée qu'elle n'y parait. 
On rencontre quelques loustics qui naviguent dans le secteur de l'immobilier, la finance, et la vie nocturne lyonnaise.
On boit de la bière en grande quantité (chaleur oblige) y compris durant les heures de boulot. On fricote, on chahute, on bastonne, on réceptionne, on se met au vert (Ardèche), on lit des magazines pour hommes modernes, on roule (pied au plancher) en 4L et Simca 1300, et on nudisme.
La jeunesse est à la manoeuvre. 
Vive les vacances !!!

Mi-temps à Paris

2ème période

Rebelote ! Direction Lyon puis Ardèche. Course poursuite, fusillades, assassinats, etc.

À classer... sans suite. 




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