Un conte d'Afrique sur la beauté, l'origine de la vérité, le pouvoir, la nécessité de la Croyance, le faut pas croire quand même tout c'qu'on nous dit....D'ailleurs, Mawolo dans son extrême sagesse nous informe que,
je cite, "les choses ne sont pas exactement comme elle nous paraissent être". Alors... Si c'est ainsi...
Ah, Mawolo ! De son petit nom William. Ce gars débarque en pleine chaleur, au milieu de nulle part pour mener l'enquête sur la disparition d'un type qui fait son boulot correctement, qui est
Ca se passe à Wologizi... Une ville frontière. La ville des menteurs. On y boit du vin de palme. On y apprend que pour ne plus avoir peur il faut se rapprocher de la source du pouvoir. Que les femmes, dans ce village, ont un léger parfum de bois vierge. Que les femmes poilues, et j'insiste sur ce détail, débordent d'une passion débordante. On y apprend également que les femmes sont des créatures capricieuses (?). Que c'est un endroit où l'écartement des dents du haut est hautement considéré par les femmes du coin.
Un lieu où la féminisation transpire de tout côté, et dans chaque recoin.
Wologizi est un endroit confiné. Là-bas, fait remarquable, les voisins sont au courant de tout... Mais étrangement, n'ont rien vu, ni rien entendu. Autour de la mairie, on recense, Tetese dit "le bourreau", conteur de son état et chef coutumier du village, le vieux Kapu, ex-chef du village, Jibril, le libanais dit "le chauve", grand économiste et chef d'entreprise avisé, un caporal, la fille du chef, la femme de l'ex-chef, un groupe de miliciens, une cohorte de femmes esclaves, et une bande d'administrés qui se déplace de droite et de gauche, au son du
Un bien beau dossier, ma foi ! Parfois un peu space, référence au poro (?) notamment, mais dans lequel chacun des mots est pesé, et chaque phrase emballée dans du beau papier. Le dossier peut être livré. Chaud devant !
Pour l'analyse chiromancique, veuillez laisser vos coordonnées, on vous écrira. Tout ce que l'on peut dire, c'est que niveau pouce, pas d'inquiétude.
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