Dossier clos : l'affaire Max le menteur



BIBLIOGRAPHIE de Max Le menteur

Personnage créé en 1953 par Albert SIMONIN – Français – (1905-1980)

Max le menteur est un truand vieillissant évoluant dans le milieu parisien des gangsters des années
cinquante.
Son secteur d'activité se situe dans le triangle : place Clichy, Notre-Dame de Lorette, place Pigalle et Montmartre.
Question langage ça cause argot de l'époque.
Max est né dans le quartier des Buttes Chaumont à Paris. C'est un célibataire endurci, avec d'importante conquêtes féminines à son actif. Il habite Neuilly dans un beau quatre pièces. Aime les costards chics et surtout sa voiture, une vedette huit cylindres.
Fidèle en amitié entre truands,
Pas méchant mais (il ne) faut pas le chatouiller, car il riposte. Ca va du coup de poing au P38.
Max adore son ami le gros Pierrot qui a pour régulière la Marinette.
On croque à « La cascade » avec des gisquettes à la pelle. De temps en temps on avale un crouton chez la mère Bouche, une vieille respectable chez qui la bouffe est au poil et qui sert de repaire aux malfrats, aux noms très colorés : Léo le flamand, Pierrot belle jambe, Roger la cravatte, Charly bouillon gras, Tintin la broque, Jo le borgne ext.
Philosophe ,il déclare « que la vie est douce quand on a fait un beau casse, qu'on a chouré cinquante briques à des caves qu'en avaient forcément pas l'emploi ».

(Première publication pour tous les livres) :

1 – Touchez pas au grisbi !, 1953
Gallimard (Série noire n°148)

2 – Le cave se rebiffe, 1954
Gallimard (Série noire n°206)

3 – Grisbi or not grisbi, 1955
Gallimard (Série noire n°260)


Un contrib' de Dan
Décembre  2019

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