Chats de gouttière, Rolo Diez, Gatos de Azotea


 La lecture de ce reportage latino est la conséquence d’une joyeuse présentation d’écrits Argentins à la bib. du 1er à l’occasion du salon du livre 2014.

Les principaux acteurs : Mario Rodriguez, Clara Carranza, Julio et Ojeda.
Techniques abordées : transmission du savoir
Le petit plus sagesse populaire : Haroun ar Rachid, dit Aaron le Sage
Inhalation à la fine de delicados et de gaz carbonique
Ingestion de porcs frits, de patates et de haricots
Pour les liquides : c’est bière pour les jeunes hommes, vin pour les plus âgés, et cuba libre pour les demoiselles
Ca se passe entre Cruz Grande et Mexico.
Sujet de conversation : Déplacement de Population
Histoire : référence à Tenochtitlan, sensibilisation aux « marron » de la liberté 
Parité : on apprend que les femmes aiment mieux que les hommes ( ?)

Le sujet : Ojeta, un proprio bien implanté dans le quartier, a la fâcheuse manie de se payer deux fois dans le mois. Le 5, en monnaies sonnantes et trébuchantes, rien d’anormal jusque là, mais en fonction du mouvement lunaire et de l’ambiance familiale, le bonhomme vient régulièrement réclamer un supplément de chair.
Ca fait que la petite môme Clara est à cran. D’autant que, après avoir relu dans les moindres détails le bail, tout le monde s’accorde à dire que le droit de cuissage n’est pas stipulé ou alors vraiment en tout petitpetit…
Quant à Julio, une toute jeune recrue, fraîchement débarqué dans la capitale, tout guilleret et gonflé à bloc, mécanicien de métier, est très vite pris en charge par la communauté des voisins. A savoir, lasusdite Clara et le sieur Mario, un ancien combattant de la vie. Vendeur d’encyclopédies. Le couple fait de son mieux pour l’intégration. Des « bonnes gens »…
Le soir à la veillée, les voix se font entendre. Elles rappellent que la violence sue de partout dans ce monde. Qu’elle soit physique, mentale ou morale. Que les tristes corps sont enchaînés. Et que les tristes âmes sont toujours en errance. C’est un fait : la population souffre. Les disparitions sont rarement inquiétantes…
Pourtant, aujourd’hui, c’est Julio qui donne l’alarme… Comme c’est étrange. Ca ne se passe jamais comme on le souhaite. Il doit bien y avoir une théorie là-dessous…

Je pars faire quelques recherches sur ce thème, je reviens dès que possible. Bye