Les affaires, c'est comme le linge, ça se lave en famille.
Pas de négociation possible.
On retrouve le commissaire Bordelli quelques mois plus tard, toujours à Florence. Et encore une traversée périlleuse au coeur du contingent humain.
Le meurtre d'une fillette dans un parc public affole les mamans... et les papas aussi. Faut pas croire... Une gamine, bon sang !
Déjà à ce niveau, Bordelli voit rouge (rien à voir avec la maladie des yeux qui voient un point noir). Alors, quand une deuxième fillette est déclarée assassinée, son sang, déjà rouge, broie du noir.
La jeune République a du mal à grandir.
On retrouve la même équipe que précédemment. L'enquête est lente. Mais qui va piano... Et puis, cela permet à Bordelli d'approfondir et de résoudre quelques autres problèmes de la vie quotidienne.
On parle des maisons closes de la région, des "petites" gens malmenées par les brutes la vie, De faits divers et de hauts faits (?). Les organisations oeuvrent dans l'ombre et les ombres s'organisent.
On nous informe que les bières sont embouteillées par Peroni et que la colombe blanche s'est encore envolée.
On ne sait pas si Bordelli s'en remettra.
A l'issue de cette lecture, la Direction propose un programme d'entraînement intensif :
- Le matin : pratique de la méditation interstellaire, avec mise en perspective de l'Humanité.
- Le midi : étude du gros dossier qui traite de la '"Faute" et de son antériorité.
- A la veillée : lire des poèmes de Hrotsvita et de Cecco Angiolieri.... Et puisque les fêtes sont proches, lire aussi Pascal.
- Et pour passer une bonne nuit : vaporiser quelques gouttes de drosera (SGDG) dans l'habitacle ouvrir la fenêtre en grand et appuyer sur le bouton "Vecchio frac"
Le dossier est dans les mains de la majorette en Chef. C'est dire !!!