BIBLIOGRAPHIE de Jacob ASCH
Personnage créé en 1974 par Arthur LYONS – Américain – (1946-2008)
Jacob Asch, fils d'un père juif, tailleur, qui possède un petit magasin à Fairfax et d'une mère, membre de l'église épiscopale, vit à Los Angeles et exerce le métier de détective privé.
Après des études universitaires, il débute dans la vie comme journaliste d'investigation au « Chronicle » de Los Angeles de 1960 à 1969.
Après avoir refusé de révéler à la police ses sources d'information à propos d'un article, il est condamné à six mois de prison. Il quitte alors le journalisme et devient détective privé à Los Angeles, sa ville, qu'il aime plus que tout. Il a alors trente-quatre ans.
Quelques travaux confiés à Jacob :
- Tenter de prouver l'innocence d'un homme accusé d'avoir tué sa femme et son amant
- Retrouver le mari d'une connaissance disparue
- Chercher une femme et son enfant disparus depuis huit ans
- Investiguer auprès du fiancé d'une riche cliente qui souhaite savoir si elle est aimée pour elle ou pour son fric
- Régler un litige avec une compagnie d'assurance qui refuse de verser une prime, suite à la mort accidentelle du mari de son ancien amour
Il est également recruté par une femme abandonnée depuis seize ans, qui croit reconnaître son mari sous l'aspect d'un réalisateur de cinéma célèbre. Etc...etc...
Cela le mène à côtoyer une secte de nécrophiles, un cadavre dans le coffre d'une voiture, une femme, jadis ravissante, pendue à un crochet de boucher, la mafia, un enfant mort, un trafic d'antiquités et de drogue, des politiciens corrompus, des magnats de l'immobilier un peu assassins, des magistrats pas très indépendants etc... La liste est longue.
Son but est de parvenir à la vérité. C'est un bosseur, fougueux et fort en gueule avec des méthodes pacifiques. Sa faiblesse, c'est d'être sentimental. Il n'est pas regardant sur la moralité des belles femmes qui couchent avec lui.
Pour finir, un extrait de « Caméra-stylet » page 131 : vous savez ce que Marilyn Monroe a dit quand elle a signé son premier gros contrat avec un grand studio ? « C'est la dernière "biiip!" que j'aurai à sucer ».
Après avoir refusé de révéler à la police ses sources d'information à propos d'un article, il est condamné à six mois de prison. Il quitte alors le journalisme et devient détective privé à Los Angeles, sa ville, qu'il aime plus que tout. Il a alors trente-quatre ans.
Quelques travaux confiés à Jacob :
- Tenter de prouver l'innocence d'un homme accusé d'avoir tué sa femme et son amant
- Retrouver le mari d'une connaissance disparue
- Chercher une femme et son enfant disparus depuis huit ans
- Investiguer auprès du fiancé d'une riche cliente qui souhaite savoir si elle est aimée pour elle ou pour son fric
- Régler un litige avec une compagnie d'assurance qui refuse de verser une prime, suite à la mort accidentelle du mari de son ancien amour
Il est également recruté par une femme abandonnée depuis seize ans, qui croit reconnaître son mari sous l'aspect d'un réalisateur de cinéma célèbre. Etc...etc...
Cela le mène à côtoyer une secte de nécrophiles, un cadavre dans le coffre d'une voiture, une femme, jadis ravissante, pendue à un crochet de boucher, la mafia, un enfant mort, un trafic d'antiquités et de drogue, des politiciens corrompus, des magnats de l'immobilier un peu assassins, des magistrats pas très indépendants etc... La liste est longue.
Son but est de parvenir à la vérité. C'est un bosseur, fougueux et fort en gueule avec des méthodes pacifiques. Sa faiblesse, c'est d'être sentimental. Il n'est pas regardant sur la moralité des belles femmes qui couchent avec lui.
Pour finir, un extrait de « Caméra-stylet » page 131 : vous savez ce que Marilyn Monroe a dit quand elle a signé son premier gros contrat avec un grand studio ? « C'est la dernière "biiip!" que j'aurai à sucer ».
Les dossiers en questions :
1 – Le fouineur, 1976 . The Dead Are Discrete, 1974
Trad. Roger Guerbet Mason & Lipscomb
Gallimard Publishers Inc.,
(Super noire n°33) New York
2 - (non trad. en français) All God's Children, 1975
Mason / Charter,
New-York
3 – La ravissante à l'abattoir, The Killing Floor, 1976
1978, Trad. Rosine Mason / Charter,
Fitzgerald New-York
Gallimard (Super noire n°93)
4 – (non trad. en français) Dead Ringer, 1977
Mason / Charter, New York
5 – La déchirure, 1981 Castles Burning, 1979
Trad. Simone Hilling Henry Holt & Co.,
Gallimard New-York
(Série noire n°1842)
6 – Faut pas avoir honte, 1982 Hard Trade, 1981
Trad. Jean-Michel Holt, Rinehart &
Alamagny Winston, New York
Gallimard (Série noire n°1865)
7 – Ne fait pas à autrui, 1984 At The Hands Of Another,
Trad. Denise May 1983, Henry Holt & Co.
Gallimard New-York
(Série noire n°1977)
8 – (non trad. en français) Three With a Bullet, 1984
Holt, Rinehart & Winston,
New York
9 – Caméra-stylet, 1989 Fade Faded, 1988
Trad. France-Marie The Mysterious Press
Watkins New-York
Gallimard (Série noire n°2175)
10 – L'argent du Turc, 1991 Other People's Money, 1989
Trad. Laurette Brun The Mysterious Press
Gallimard New-York
(Série noire n°228)
11 – (non trad. en français) False Pretenses, 1994
The Mysterious Press,
New-York
Une contrib' de Dan
mars 2018